Vacances, détente et... écrans 😡
Ça y est, nous sommes entrés de plain-pied dans la période des grandes vacances — pour les enfants, hein, moi c’est dans bien longtemps. Ce que je vous envie, les profs. Et qui dit grandes vacances, dit glande, relâchement total. Bataille d’eau au parc, fête de l’école ce soir... Mon fils aîné a même organisé une raclette party en cours de sport aujourd’hui. Oui, une raclette par temps de canicule : les ados ne manquent pas d’inventivité.
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À propos du Balagan …
J’ai lancé ma newsletter en septembre 2023 à un moment où j’étais en pause professionnelle et je ressentais le besoin d’écrire sur ma vie de mère de famille nombreuse, et de femme de presque 40 ans à l’époque. Écrire, pour partager des réflexions que je pense communes à beaucoup de femmes.
Écrire, pour le plaisir des mots, des belles phrases et des émotions qu’elles procurent.
Ecrire comme exutoire, pour extérioriser ce que je vis, pour savoir si je suis la seule dans mes galères et dans mes questionnements permanents sur l’éducation, l’amour, le féminisme, le boulot…
Balagan signifie bazar en hébreu, une bonne illustration de ma vie de famille tantôt joyeuse, tantôt pénible, mais toujours bordélique.
Le résultat est je pense intime parfois drôle et parfois triste
Plus c’est intime plus c’est universel
Le Balagan c’est vous, c’est moi
Le Balagan
À propos du Balagan …
J’ai lancé ma newsletter en septembre 2023 à un moment où j’étais en pause professionnelle et je ressentais le besoin d’écrire sur ma vie de mère de famille nombreuse, et de femme de presque 40 ans à l’époque. Écrire, pour partager des réflexions que je pense communes à beaucoup de femmes.
Écrire, pour le plaisir des mots, des belles phrases et des émotions qu’elles procurent.
Ecrire comme exutoire, pour extérioriser ce que je vis, pour savoir si je suis la seule dans mes galères et dans mes questionnements permanents sur l’éducation, l’amour, le féminisme, le boulot…
Balagan signifie bazar en hébreu, une bonne illustration de ma vie de famille tantôt joyeuse, tantôt pénible, mais toujours bordélique.
Le résultat est je pense intime parfois drôle et parfois triste
Plus c’est intime plus c’est universel
Le Balagan c’est vous, c’est moi
Par Candice Satara
À propos de l’auteur de Le Balagan …
Je m’appelle Candice, je suis journaliste et mère de quatre garçons de 3 à 13 ans. Je me pose beaucoup de questions sur tout. Je suis une éternelle insatisfaite, je voudrais toujours plus, toujours mieux. Je crie beaucoup sur mes enfants et je suis avec leur père depuis 21 ans. Soit la moitié de mon âge. J’aime beaucoup me plaindre, et je suis plutôt le genre de personne qui voit le verre à moitié vide. Mais on dit de moi que je suis très drôle (oui c’est paradoxale). Bref cette description n’est vraiment pas terrible, alors je vais m’arrêter là.